Plusieurs scènes d’émeute : un réfugié, ayant traité d’alboche un ouvrier ( ?) ivre avec lequel il s’était pris de querelle, a reçu deux coups de couteau. Fatalité. Ce malheureux a fui les Allemands pour venir tomber assassiné par un compatriote.
Une bande d’énergumènes attaque, un peu plus tard, une sentinelle qui doit se défendre à coups de crosse et appeler à l’aide.
Enfin, un ivrogne prend au collet un officier, l’insulte et crie : « Les Prussiens valent mieux que les Français ! » La foule prend parti pour l’officier et frappe le vilain poivrot que l’officier et deux soldats doivent protéger jusqu’au poste de police.