En Grèce, en Italie, le peuple vaut mieux que ses gouvernants ; il est d’instinct avec le droit, la civilisation, il brûle de les servir ; il se souvient des bienfaits et des injures. En France également, le peuple valait cent fois mieux que ses gouvernants ; et peut-être en Allemagne, vaut-il un peu mieux aussi. Mais là, il s’est tellement identifié avec ses mauvais conducteurs, qu’il n’est plus possible de les distinguer.