Nous n’avons jamais fait les choses qu’à moitié. À moitié prêts, à moitié secondés par les Anglais, nous avons à moitié secouru la Belgique, à moitié défendu la France, à demi aidé la Russie, à demi combattu pour la Serbie. Pour ne pas manquer aux précédents, nous bloquons « partiellement » la Grèce.