Mercredi 5 avril 1916

 

250 blessés de Verdun. Arrivés à 10 h, ils n’ont pas mangé à 3 h et attendent dans les corridors qu’on les case. Quelques-uns s’échappent pour acheter du chocolat.
Cheveux et visages brûlé. Le surlendemain, contrordre, on les rembarque pour Tulle…
Ma colère. J’offre ma soupe et mon café !