Par le froid, sous la pluie ou dans le brouillard, les nôtres soutiennent là-bas, en Flandre, une lutte effroyable contre seize corps d’armées allemands.
Mon Dieu ! mon Dieu ! mon Dieu ! Si mon devoir ne me commandait pas les travaux absorbants et mesquins, je voudrais, avec l’espoir d’adoucir par mon sacrifice les souffrances de nos soldats, m’agenouiller pour ne me relever, comme un fakir, qu’à la fin de la bataille.